08/02/2019
Après trois ans de travail technique, politique et de concertation avec les habitants, le projet de Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) s’expose sur le territoire au travers de deux expositions, une fixe et une itinérante .
Du 13 février au 5 avril 2019, venez découvrir de manière ludique les grandes orientations d’aménagement et de développement durable pour le territoire et les règles d’urbanisme du PLUI dans une exposition interactive à la Plateforme de Verdun (9 place de Verdun).
Conception et scénographie : OXALIS
25/04/2018
La proposition « JE MARCHE DONC NOUS SOMMES » décline le versant revendicatif de la marche et examine la manifestation, le défilé, la parade dans ses aspects matériels, historiques et prospectifs. Si la manifestation emprunte dans sa forme aux cortèges processionnels, religieux, corporatifs et festifs, elle s’invente avec le développement urbain et l’invention de la rue ! L’expression revendicative prend forme par nombre d’éléments visibles et créatifs : banderoles, pancartes, chants et slogans… L’humour et la dérision vont de pair avec ces grands et petits rassemblements. Tout est bon pour se faire entendre et surtout voir.
20/05/2017
Le château de Grignan est à jamais associé à Madame de Sévigné, femme de lettres devenue célèbre après la parution de sa correspondance. L'exposition retrace le parcours de cette épistolière d'exception entre Paris, Vitré (Bretagne) et Grignan, où elle séjourne auprès de sa fille. Elle met en lumière l'évolution de son écriture, l'art de vivre en Provence et le mythe sévignéen, à travers plus de cent objets et oeuvres d'art illustrant le Grand Siècle.
Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication.
31/03/2017
La pose des éléments scénographiques de l'exposition "Les Jours sans" au Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation à Lyon a été réalisée par FIXART (vitrines, cloisons, mobilier...).
L'installation des documents et la mise en vitrine ont aussi été effectué par FIXART.
Scénographie : L+M
Fabrication : Boccardo
Impression : Medicis
Audiovisuel : Hémisphère
05/01/2017
L’oeuvre de Gérard Collin-Thiébaut est plurielle, immense et labyrinthique. L’exposition qui se déploie dans toutes les salles du Frac en propose l’une des possibles traversées.
En suivant au sol un fil d’Ariane composé pour l’essentiel de mots du philosophe allemand Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (La voie de l’émotion retenue), le visiteur est ainsi invité à arpenter La salle de la Vanité, et La salle de l’amour, de l’art, puis La salle du maître étalon, pour finir par La salle du Fonds, cette dernière bifurquant vers La salle des enfants morts ou La salle des Petits soldats, comme s’il arpentait la maison de l’artiste, laquelle située à quelques kilomètres d’Ornans où naquit Courbet regorge de ses productions, de ses collections, de ses souvenirs et probablement de fantômes.
Il y rencontrera une oeuvre qui mélange allègrement d’un côté, rigueur, affect, causticité, pessimisme, et de l’autre, écriture, langage, passé, présent. Gérard Collin-Thiébaut nous souffle ainsi que « l’objectif et le subjectif se confondent, que le mot et l’idée sont consubstantiels ». Il nous parle du pouvoir unifiant de l’art avec ici la présence en filigrane de Schelling qu’il relie avec raison à Henri-Frédéric Amiel dont il copie le Journal. Bref, l’artiste poursuit avec facétie dans son exposition à programme (« comme musique à programme » dit-il), le questionnement sur le statut de l’art et de l’artiste qu’il a engagé il y a plus de 30 ans.